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2016, documentaire, 66 min, couleur
Réalisation : Vincent Dieutre
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"Frère Alain", c’est le surnom donné par Vincent Dieutre au cinéaste Alain Cavalier, auquel est dédié cet "exercice d’admiration".
Images
Résumé
"Frère Alain", c’est le surnom donné par Vincent Dieutre au cinéaste Alain Cavalier, auquel est dédié cet "exercice d’admiration". Une référence à saint François qui, comme lui, fit acte de dépouillement. À la manière de Cavalier dans ses films autobiographiques, Vincent Dieutre, en séjour à Florence, se livre à un journal filmé à fleur de quotidien. En ouverture et conclusion, le "filmeur" lui répond.
Cinquième exercice d’admiration (EA5) signé par Vincent Dieutre, Frère Alain transforme un rendez-vous manqué en correspondance vidéo. Le film s’ouvre sur une séquence réalisée par Alain Cavalier lui-même dans son appartement-studio de tournage. Manière discrète de se dérober au séjour à Florence auquel Dieutre l’avait convié. Parti seul, Vincent Dieutre se promène à la recherche de fresques de Giotto sur la mort de saint François, filme les jours qui passent, revoit les films de Cavalier tout en s’adressant au cinéaste resté en France. Chez Cavalier, Dieutre admire avant tout l’audace et le bonheur du dépouillement. Il évoque les films qui l’ont marqué : Ce répondeur ne prend pas de messages (1979), La Rencontre (1995), esquisse quelques arrêts sur image qui expriment son respect et sa sidération, quand l’admiration touche à l’indicible. Ultime questionnement : comment dépouillement et béatitude s’arrangent de la tragédie du monde ? Alain Cavalier y répond dans un bref épilogue.
(Sylvain Maestraggi)
Cinquième exercice d’admiration (EA5) signé par Vincent Dieutre, Frère Alain transforme un rendez-vous manqué en correspondance vidéo. Le film s’ouvre sur une séquence réalisée par Alain Cavalier lui-même dans son appartement-studio de tournage. Manière discrète de se dérober au séjour à Florence auquel Dieutre l’avait convié. Parti seul, Vincent Dieutre se promène à la recherche de fresques de Giotto sur la mort de saint François, filme les jours qui passent, revoit les films de Cavalier tout en s’adressant au cinéaste resté en France. Chez Cavalier, Dieutre admire avant tout l’audace et le bonheur du dépouillement. Il évoque les films qui l’ont marqué : Ce répondeur ne prend pas de messages (1979), La Rencontre (1995), esquisse quelques arrêts sur image qui expriment son respect et sa sidération, quand l’admiration touche à l’indicible. Ultime questionnement : comment dépouillement et béatitude s’arrangent de la tragédie du monde ? Alain Cavalier y répond dans un bref épilogue.
(Sylvain Maestraggi)
Descriptif technique
- Production
- La Huit
- Participation
- CNC, Ciné+, Procirep, Angoa
- Réalisation
- Vincent Dieutre
- Sujet
- Alain Cavalier
- Année
- 2016
- Durée
- 66'
- Double disque
- non
- Couleur / N&B
- couleur
- Genre
- Documentaire
- Diffusion
-
- Prêt aux particuliers par l'intermédiaire des médiathèques : oui
- Projection publique : oui
- Diffusion en ligne : oui